Dulcie September

La famille de Dulcie September, représentante de l’ANC (Mouvement de libération sud-africain), assassinée le 29 mars 1988 à Paris, poursuit l’État français pour déni de justice. Une démarche qui fait suite aux refus du Parquet, en 2019 et 2020, de rouvrir le dossier afin faire toute la lumière sur cet assassinat. Soutenue par les amis de Dulcie September, des militants anti-apartheid et diverses personnalités, la famille demande que les faits soient considérés comme un crime d’apartheid ce qui les rendraient imprescriptibles. Une question les taraude : pourquoi la France a bâclé l’enquête et classé l’affaire par un non-lieu ?

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