L’argent n’a pas d’odeur

« La Chine a accepté de déployer des efforts continus et soutenus pour ratifier les conventions (…) sur le travail forcé » explique la Commission européenne qui souhaite ainsi justifier l’accord d’investissements qu’elle négocie avec la Chine. Un accord sur fond de témoignages qui s’accumulent sur la répression des Ouïghours, contraints de travailler pour des usines prestataires de multinationales, notamment dans le textile. Chacun appréciera le caractère contraignant de l’accord. Les Ouïghours peuvent dire merci à l’UE.

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