SOS afghans

« Je sais qu’ils vont me tuer. Je vais m’asseoir et attendre qu’ils viennent. Je ne peux pas abandonner ma famille. De toute façon, où vais-je aller ? » Zharifa Ghafari, 29 ans, docteur en économie, entrepreneuse. Nommée maire de Maydan Shahr en juillet 2018 elle n’a pu prendre ses fonctions qu’en mars 2019, des hommes l’empêchant d’entrer dans la mairie. Depuis, elle a reçu régulièrement des menaces de mort venant de Talibans. Son père a été tué en 2020 devant son domicile.

« Je vais rester et me battre pour mon pays, mais je ne peux le faire seule. J’ai besoin d’alliés. S’il vous plait, aidez-nous à faire en sorte que le monde se soucie de ce qu’il se passe », « Soyez nos voix à l’extérieur de l’Afghanistan » supplie Sahraa Karini, 38 ans, Docteur en cinéma, réalisatrice, Directrice générale du film afghan.

Deux appels parmi les nombreux cris de détresse qui montent d’Afghanistan.

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