Cynisme sans limite
Volkswagen a utilisé en 2015 400 millions d’euros de prêts bonifiés de la Banque européenne d’investissements pour installer le logiciel fraudeur du « Dieselgate » sur ses moteurs et tricher lors des tests d’émission de CO2 alors que cet argent était censé l’aider à faire des recherches pour produire des voitures plus propres, apprend-on dans un article du Monde (9 octobre) consacré au dernier rapport de l’Office européen de lutte antifraude (OLAF).