Contrôle au faciès
S’appuyant sur 170 pages de témoignages, 6 associations et ONG se sont regroupées pour faire, le 27 janvier, une « Action de groupe » contre les contrôles au faciès. Une mise en demeure a été envoyée au Premier ministre et aux ministres de l’Intérieur et de la Justice. Une procédure rendue possible par une loi de novembre 2016. Premier ministre et ministres ont 4 mois pour répondre à la demande. En cas de non réponse ou de mesures insatisfaisantes, les Associations et ONG pourront saisir la justice.